Pensées, mode de vie et ces biorythmes, alimentation

yoga-science-de-vie-food« L’hygiène de vie est l’ensemble des règles et des conditions d’existence pour préserver la santé ». Trois vecteurs doivent être envisagés : la pensée, le mode de vie et l’alimentation.

La pensée, cultiver l’ouverture d’esprit et sa curiosité, la pensée positive, la joie et les plaisirs d’être sont indispensables à notre épanouissement. Cette positivité est plus aisée pour certains que pour d’autres… histoire de tempérament. Par contre cette objectivité d’être moteur d’une action positive sur un fait moins positif cela nous revient. Même si l’autre ou les faits de la vie font osciller notre quotidien plus vers l’élan ou le retranchement c’est à nous que revient l’articulation de l’être et sa vision plus positive. Celle ci nous aidera à dénouer les nœuds énergétiques et mentaux. Nos émotions et nos pensées agissent sur notre santé physique, psychique, mentale ; ces trois aspects sont indissociables.

Le mode de vie et ces biorythmes, pour vivre le mieux possible le vieillissement. Selon les saisons notre énergie s’exprimera plus féminine (préparation à l’action) ou plus masculine (l’action) ; les deux aspects nous permettant la création. Ainsi nous allons traverser le printemps et le renouveau de la nature, l’action qui va durer jusqu’au milieu de l’été pour faire place à l’automne et l’hiver, le repos, la préparation à l’action. Le corps suit, lui aussi, ces rythmes : faire de l’exercice le matin, avec le soleil levant, qui est plus dynamisant, alors que le soir, plus dans une certaine lenteur de récupération, une activité de détente est préférable. L’harmonie se situe entre ces deux complémentarités : lune/soleil, nuit/lumière, glace/feu, froid/chaud, terre/feu, féminin/masculin, passif/actif, selon la philosophie gauche/droite ou inversement. L’harmonie c’est aussi la respiration conscience au quotidien, la toilette qui est un acte pendant lequel on s’occupe de soi ainsi que les fonctions naturelles du corps.

L’alimentation, « il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger ». Molière. La première action à mettre en place est de manger des aliments le moins transformés possible ou alors de les avoir cuisinés. Avoir la curiosité, seule en couple ou en famille, de découvrir une ferme ou magasin et acheté ce que la saison propose tout en gardant les achats de conservation longue. Cuisiner même simplement, la nourriture passant par les 5 sens. Un plat ayant de belles couleurs, goûteux et sentant les plantes aromatiques aux vertus bonnes pour la digestions et autres, le toucher (on évitera quoique en Inde on respecte la nourriture en la prenant avec les mains), l’ouïe permet d’entendre si le plat est à refaire… partageons et faisons à tour de rôle, non ?

Il nous faut toujours garder en tête que toute substance administrée ou pas est capable de susciter un effet et donc peut aussi avoir des effets secondaires délétères.